EQUIPE DE FRANCE

rifoufoot a écrit: beaucoup de monde critique sont geste mais la plupart des gents ne connaissent pas le football . pour moi c'est juste une érreur d'arbitrage comme dans beaucoup de match .

ta raison

Oui érreur d'arbitrage mais un geste impardonnable, même en regardant la photo, s'est lamentable, s'est volontaire et malheureusement les gens se souviendront plus de la main d'Henry que sa belle carrière. Une image à ne pas montrer au petits qui apprennent le football!!!!!!!!!!!!

Henry dans le collimateur de la Fifa

Sepp Blatter a annoncé , mercredi après-midi, que la Fifa allait faire une enquête disciplinaire à l'encontre de Thierry Henry et de sa fameuse main lors du barrage retour de la Coupe du monde contre l'Irlande. Le risque d'une suspension est donc bien réelle.

Accusé, levez-vous ! On ne sait pas si Thierry Henry sera interrogé, comme cela se fait à la PJ, dans une salle prévue à cet effet, mais la Fifa a décidé de mener l'enquête sur cette fameuse main du 18 novembre qui a permis au capitaine des Bleus de centrer pour la tête victorieuse de William Gallas (1-1), synonyme de billet pour la prochaine Coupe du monde. C'est ce qu'a annoncé Sepp Blatter, le président de la Fifa, ce mercredi au Cap, en Afrique du Sud, à l'occasion d'un Comité exécutif extraordinaire de l'institution internationale où il a été question, entre autres, des problèmes d'arbitrage en général.

On croyait pourtant l'affaire de la main d'Henry terminée quand la veille, ce même Blatter avait déclaré que l'Irlande ne participerait pas au prochain Mondial, après une ultime demande des dirigeants britanniques. (Lire L'IRlande n'ira pas au Mondial). Ce n'est donc pas tout à fait fini pour l'attaquant du Barça sous le coup donc, d'une procédure disciplinaire. Henry, qui a discuté au téléphone avec le patron du foot mondial, risque ainsi une suspension. "La question n'est pas de savoir si c'est Thierry Henry ou un autre. Mais c'était un acte de jeu déloyal flagrant qui a été montré partout dans le monde... Je ne dis pas que Thierry Henry va être puni, ce que je dis c'est que ce cas va être examiné par le comité de discipline", a précisé Blatter lors d'une conférence de presse.

En faire un exemple ?

Si l'organe disciplinaire de la Fifa décidait de sanctionner Thierry Henry, ce dernier le serait dans le cadre des matches officiels de l'équipe de France. Et la prochaine rencontre des Bleus se déroulera au mois de juin pour son entrée dans le Mondial sud-africain. En attendant le résultat des investigations, on peut se demander pourquoi cette procédure n'a pas été ouverte plus tôt. Peut-être pour marquer le coup en privant Henry d'un match ?

On peut également se demander pourquoi les arbitres de France-Irlande, premiers fautifs dans l'affaire pour ne pas avoir vu la main, ne se trouvent-ils pas sous la menace d'une sanction ? Quelle que soit la fin de cette histoire, les Irlandais ressentiront pendant très longtemps encore de la rancoeur envers Henry, le coupable idéal.

Bleus et les primes
La Fédération française de football a communiqué en interne les chiffres exacts des primes versées aux joueurs et à Raymond Domenech, suite à la qualification pour la Coupe du monde 2010. Dévoilé par Le Monde, le document confirme à peu de chose près les révélations de France Football, il y a deux semaines.

Opération transparence à la FFF ! Moins de trois semaines après la qualification de l'équipe de France pour la Coupe du monde 2010, l'instance dirigeante du football tricolore a décidé de dévoiler dans un document adressé aux représentants du football amateur les chiffres exacts des primes perçues lors de cette campagne par les joueurs et le staff, Raymond Domenech compris. Une démarche sans doute en réaction à la révélation par France Football du 20 novembre dernier du montant de la prime perçue par ce dernier (862.000 euros), deux jours après une qualification acquise sur fond de violente polémique suite à la main de Thierry Henry. Ce chiffre avait en effet suscité un certain émoi en France, l'intéressé commentant de son côté dans une interview accordée à L'Express: "En sortant du terrain, nous n'avions pas la moindre idée du montant de la prime qui nous était promise. Je ne le connais toujours pas, d'ailleurs. Ma seule certitude, c'est qu'il est inférieur au chiffre annoncé dans la presse", avait-il déclaré.

Résultat des courses ? Pris au pied de la lettre, Raymond Domenech n'a pas tort, puisque le montant de la prime perçue est en effet inférieur au chiffre annoncé, reste que proportionnellement à son montant, la différence est infime (4,2% du chiffre global), puisque la somme exacte, dévoilée par Le Monde, est de 826.222 euros. Le Club France, instance relancée après le fiasco de l'Euro 2008, qui s'est chargé de ce travail de transparence, détaille ensuite les mécanismes permettant d'arriver à ce total. Ainsi, apprend-on que chaque joueur touche 10.000 euros lorsqu'il est convoqué pour un match de qualification, qu'il joue ou non. Il perçoit ensuite un montant global de prime de qualification, variant de 100.000 à 240.000 euros en fonction du nombre de sélections, tandis que le sélectionneur, selon un usage en vigueur depuis 1998 mais dont on comprend difficilement la justification, touche quant à lui une double prime.

Des chiffres qui n'ont pas augmenté au cours de cette campagne, les Bleus, après un Euro 2008 raté, ne s'étant alors pas retrouvés en position de force pour les renégocier à la hausse, ce que confirme au Monde Jacques Valentin, directeur délégué auprès des Bleus: "Il n'y a pas eu d'augmentation des primes, ni pour les joueurs ni pour le sélectionneur, par rapport à la précédente campagne qualificative. Cela résulte d'une volonté partagée de ne pas entrer dans une logique de surenchère."

La FFF reste vigilante

Ajoutez à cela les primes liées aux droits marketing des Bleus et voilà comment un joueur qui aurait participé à toute la campagne éliminatoire pour la Coupe du monde 2010 s'en sort avec une prime de 563.111 euros, un chiffre assez largement au-dessus de celui publié le 20 novembre par France Football (430.000 euros). Au passage, la FFF ajoute quelques précisions, notamment sur les barèmes qui s'appliquent aux matches amicaux (18.000 euros en cas de victoire contre une équipe qui figure dans le Top 10 au classement Fifa, 9.000 euros pour un match nul), et sur certains frais liés à d'autres dépenses. Le Monde nous apprend ainsi que les voyages préparatoires à l'organisation du futur déplacement en Afrique du Sud ont coûté 116.000 euros et que Fabien Barthez a touché 7.000 euros pour ses missions auprès des gardiens de l'équipe de France. Le gardien champion du monde s'est en revanche vu refuser le règlement d'une note de frais de taxi de 1.000 euros, preuve pour la FFF qu'elle reste vigilante sur ses dépenses.

Cette opération-transparence de la FFF permettra-t-elle d'apaiser les tensions autour de l'équipe de France ou aura-t-elle au contraire un effet boomerang ? Pour Jacques Valentin, toujours cité par le quotidien du soir, "ces rémunérations sont à l'évidence importantes aux yeux du grand public, mais elles doivent être appréciées au regard des recettes générées par les Bleus. La participation à une phase finale a par exemple rapporté 5 millions d'euros pour le Mondial 2006 et 8 millions pour l'Euro 2008. Ces recettes sont redistribuées en grande partie vers le football amateur. Elles servent à financer des outils comme les pôles espoirs, les programmes de formation, etc. Certains journaux laissent croire que l'équipe de France a un droit de tirage automatique sur les dépenses de la fédération. Ce n'est absolument pas le cas." Dont acte.

Sa me dégoute de lire des chiffres comme sa et dire qu'il y'as des gens dans la misère!!!!!!!!!!!!!

ouai trop de pognon dans le football .

C'est dégueulace parce que des joueurs convoqués pour les qualification mais qui n'ont même pas joué, ils touchent quand même pleines d'argent.
Franchement si c'est ça le foot.

c'est ça le foot !!!!!!!!!!!

Moins de pognons et y'en auraient surement plus de motivés, la sans rien faire, ils touchent un max, s'est d'un ridicule!!!!!!!!!!!!
Quans je pense, que dans les grandes surfaces, on vient vous demandez d'offrir quelques choses pour les plus démunis, franchement vous croyez que se sont les joueurs qui y participent, toujours les même, le petit ouvrier qui bosse comme un fou et s'est ceux-la qui donnent, le monde est à l'envers!!!!!!!!!!!!

Les Bleus en revue

Chaque semaine, la rédaction vous propose de retrouver les tendances des joueurs de l'équipe de France. Quels sont les internationaux tricolores qui ont brillé, quels sont ceux qui ont déçu, consultez tout ce qu'il faut savoir sur les joueurs sélectionnables à travers leurs performances respectives.

LE BLEU DU WEEK-END : Karim Benzema
(Coup de génie, coup de pompe, focus sur un Bleu en vue ou non, ce week-end)
"Enfin galactique !" Si As n'est pas forcément réputé pour son sens de la nuance, cette apostrophe destinée à Karim Benzema dans les pages du quotidien espagnol au lendemain de la victoire du Real sur Valence (3-2) en dit long sur la prestation accomplie ce week-end par l'intéressé. Certes resté muet à cette occasion, l'attaquant madrilène ne s'en est pas moins illustré, par son hyperactivité et son altruisme, au point d'avoir été désigné homme du match par bon nombre de médias ibériques. Une sacrée revanche alors que l'Espagne du football pointait dernièrement ses difficultés d'adaptation au sein de la Maison blanche.

"Tout va bien désormais. J'ai pris mes repères, maintenant je suis lancé", assurait l'ancien Lyonnais lui-même à l'issue de la rencontre. Une analyse que partageait son coéquipier Gonzalo Higuain, bénéficiaire d'une passe décisive de l'international tricolore samedi soir: "Karim est un très bon joueur, technique, qui joue en une ou deux touches." Manuel Pellegrini aussi, pourtant guère affable d'ordinaire et notamment à l'égard de Benzema, y allait de son compliment: "Karim est un jeune joueur qui vient d'un autre championnat, et il parvient malgré tout à beaucoup nous aider. Lui et Higuain ont très bien joué", reconnaissait après coup l'entraîneur du Real sur le site officiel des Merengues.

LA PAROLE BLEUE : Jean-Michel Aulas
(La petite phrase de la semaine)
Jean-Michel Aulas est un homme pour le moins occupé. Grand manitou de l'OL, membre actif et éminent du fameux G14, vice-président du conseil d'administration de la LFP et même PDG d'une société informatique, le plus prolixe des présidents de la L1 se verrait pourtant bien ajouter une corde de plus à son arc. Dans un entretien diffusé jeudi sur les ondes d'Europe 1, JMA admettait ainsi lorgner un éventuel poste de manager de l'équipe de France: "Il faut trouver un manager, un élément de dynamisation qui va faire que cette équipe aille le plus loin possible. Structurellement, il manque le patron de l'équipe de France, estimait-il alors, avant de clairement faire acte de candidature. Je rêverais d'avoir une mission comme ça afin de remettre l'équipe de France à son bon niveau. Il faut monter une opération commando. Il y a urgence, j'adorerais faire ça. Je suis vice-président de la LFP mais je ne fais pas partie du club France et je le regrette. Je pense pouvoir apporter une expérience de 22 ans du monde professionnel."

DU BUT EN BLEU :
(Tous les buteurs bleus du week-end)
Les internationaux tricolores n'ont pas fait grand mal aux filets des quatre coins de l'Europe la semaine passée. Exceptions faites du Blue Nicolas Anelka, buteur ce week-end contre Everton (3-3), et du Toulousain André-Pierre Gignac, stérile dimanche face à Montpellier (0-1) mais auteur d'un doublé mercredi devant Sochaux (2-0), en match de rattrapage de la 11e levée de L1, il a fallu se pencher sur les oubliés ou improbables jokers de l'équipe de France pour trouver traces de réalisations bleues. En Premier League, Louis Saha a ainsi eu le mérite de faire un temps douter Chelsea, tandis qu'en L1, Péguy Luyindula a trouvé la faille avec le PSG face à un Saint-Etienne en perdition (3-0). Enfin malgré la défaite de la Juve à Bari (3-1), David Trezeguet a encore fait parler la poudre de l'autre côté des Alpes. Déjà crédité de huit buts cette saison, Trezegol est tout simplement le plus prolifique attaquant potentiel de l'équipe de France en 2009-2010.

SI J'ETAIS RAYMOND... JE REMERCIERAIS ZIDANE...
Alors que la confirmation du montant de la prime allouée à Raymond Domenech pour la qualification des Bleus au Mondial 2010 (826 222 euros) n'a cessé d'agiter l'opinion publique la semaine dernière, il est une voix des plus respectées qui a pris le parti d'aller à contre-courant, en calmant le jeu autant que faire se peut: "On en a assez parlé", dixit Zinedine Zidane. Réclamant davantage de soutien "derrière les joueurs et l'ensemble du staff", l'ancien maître à jouer de l'équipe de France rappelle par ailleurs que l'atmosphère n'était pas forcément plus sereine en 1998, à la veille du Mondial qui a fait sa légende et celle des Tricolores: "C'était la même chose", souffle-t-il, lui qui voit les Bleus "aller très loin" en Afrique du Sud. "Il y a une belle équipe, avec des joueurs pour faire la différence. Et puis on a eu un tirage assez jouable." Raymond Domenech ne pouvait pas rêver avocat plus convaincant...

Escalettes soutient Domenech

Jean-Pierre Escalettes est monté au créneau, mardi, pour défendre le sélectionneur national après l'intervention de Guy Chambilly, membre du conseil fédéral, réclamant dans les colonnes de France Football la tête du coach tricolore. Le patron de la Fédération Française de Football reste derrière Raymond Domenech et ne compte pas céder à la pression populaire
.

Décidément, un mois après la qualification de l'équipe de France pour la Coupe du monde 2010, il ne se passe pas une semaine sans que Raymond Domenech ne fasse la une de l'actualité, la plupart du temps pour faire l'objet d'une nouvelle polémique. Il y a d'abord eu les critiques de ses nombreux détracteurs, qui lui ont reproché la manière face à l'Eire, puis la révélation du montant de la prime reçue pour la qualification (826.000 euros), alors qu'il avait affirmé sur France Inter que le montant était largement inférieur, voilà donc ce mardi une nouvelle torpille venue du sérail même, en l'occurrence de Guy Chambilly, l'un des membres du conseil fédéral, le «gouvernement» de la FFF. L'ancien président de Caen réclame ni plus ni moins le remplacement de Raymond Domenech, dont l'image est tellement dégradée à ses yeux qu'elle a un impact négatif sur celle de l'équipe de France, et entend porter le débat vendredi lors d'un Conseil fédéral qui doit, entre autres, se pencher sur le programme de préparation des Bleus en vue de la Coupe du monde en Afrique du Sud.

Une nouvelle attaque qui a conduit Jean-Pierre Escalettes, le très consensuel président de la FFF, à réagir, mardi à midi sur l'antenne d'Europe 1, pour tenter de déminer le sujet. "Dire que je vis les moments les plus heureux (de sa présidence, ndlr), non, je vous mentirais", commence l'intéressé, qui convient cependant que le problème de l'image de l'équipe de France mérite réflexion: "Le plus important, c'est de redresser cette image négative, plutôt que de repartir sur les mêmes polémiques qui durent depuis deux ans et qui fatiguent au bout d'un moment. J'ai l'intention de voir ce que l'on peut faire pour redresser cette image, le Conseil fédéral va en être saisi, c'est un véritable débat. On a six mois, six mois c'est court, avec un seul match amical contre l'Espagne le 3 mars et un rassemblement d'à peine trois jours. Il existe un Club France qui doit se pencher là-dessus, on en parlera au Conseil fédéral vendredi."

"Ça passe par des résultats"

Comment redresser cette image ? Visiblement, le patron de la FFF, qui s'était déjà attaqué au sujet au lendemain de l'Euro 2008 en tentant de réactiver un Club France en sommeil et en promettant une charte destinée aux joueurs, sans que les résultats aient été probants, ne fourmille pas de solutions, puisqu'il tourne autour du pot: "C'est très difficile, ça passe par des résultats, avec la manière. Pour l'instant, on ne peut pas dire que de ce côté-là, ça ait été glorieux, tout le monde le dit, Boghossian (adjoint de Domenech, ndlr) le fait dans le journal ce matin, ça n'a pas été brillant." Un éventuel changement de sélectionneur ? Jean-Pierre Escalettes ferme la porte: "Je comprends qu'il faut prendre une action positive pour essayer de restaurer le plus possible dans les six mois à venir l'image de cette équipe, mais ça ne passe pas par des solutions radicales, ça passe par des petites mesures, réalistes, pragmatiques."

En gros pas de révolution, Raymond Domenech restant aux yeux de son patron l'homme de la situation, même s'il ne partage pas forcément sa manière de communiquer, en dépit d'un premier rappel à l'ordre après l'Euro 2008 et la fameuse demande en mariage: "Il a fait des efforts, il est moins provocateur qu'il a été, mais il a sa nature. S'il avait une communication un peu plus soft par moments, je préfèrerais, mais je ne vais pas changer Raymond a son âge, il a ses certitudes, sa personnalité, on n'a pas tout à fait la même, mais ça fait partie de mon travail d'essayer de fédérer des personnalités diverses, et Raymond est une personnalité très affirmée, parfois fougueuse."

Bref, ce n'est sans doute pas Jean-Pierre Escalettes qui plantera un couteau dans le dos de Raymond Domenech, mais qu'adviendrait-il si le Conseil fédéral se rangeait vendredi derrière Guy Chambilly ? Le président de la FFF en rigole presque, estimant, sans le dire ouvertement, qu'il voit mal les 21 membres (dont lui) aller à l'encontre de ses arguments: "Le Conseil fédéral est un endroit où j'ai des amis, on travaille ensemble depuis tellement d'années que s'ils avaient eu quelque chose à me dire comme Chambilly l'a fait, ça fait dix jours qu'ils m'auraient téléphoné. Ils ne sont pas dans un coin en train de se tapir pour se payer le président, ce n'est pas du tout dans cet esprit-là que fonctionne le Conseil fédéral. Ils écouteront ce que dira Guy et lui diront ce qu'ils en pensent. Ce n'est ni prévu ni prévisible (une majorité contre Domenech, ndlr). A chaque moment suffit sa peine. S'il y avait une décision et s'il fallait en tirer les conséquences, on les tirerait, mais toujours ensemble, et on verrait d'abord ce qu'est l'intérêt supérieur du football, l'intérêt de Jean-Pierre Escalettes, à 74 ans, il est derrière moi." En clair, entre bons amis, on ne va pas se mettre à faire la révolution...

Il suffit qu'un membre du conseil demande un vote secret pour que cette fois il le VIRE

Sauf qu'il est beaucoup trop tard pour le faire.

flo49 a écrit:Sauf qu'il est beaucoup trop tard pour le faire.

Non je crois pas Guy Chambilly va sûrement demandé un vote secret !

Pour moi Domenech dehors!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Tu n'est pas le seul!!!!!!!!! Même si Domenech est viré maintenant, le résultat à la coupe du monde ne sera pas meilleur!!!!!!!!!!!

Si au contraire, avec ou sans domenech, moi je suis sur que l'équipe de france fera une trés bonne coupe du monde et ira jusqu'en demi-finale au minimum!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je ne pense pas. Ils ont de très bon joueur mais ils n'arrivent pas à s'entendre.

Coupe du Monde FIFA 2010

Le programme de préparation des Bleus
A l'issue du Conseil Fédéral, qui s'est tenu ce matin au siège de la Fédération, Jean-Pierre Escalettes a participé à un point presse. Le président de la FFF accompagné de Noël Le Graët a notamment apporté des précisions sur le programme de préparation de l'Equipe de France avant le coup d'envoi de la Coupe du Monde FIFA 2010 en Afrique du Sud. Les Bleus disputeront trois matches amicaux contre le Costa Rica, la Tunisie et la Chine.

Après quelques jours de stage, les Tricolores disputeront le premier de leurs trois matches amicaux face au Costa Rica, le mardi 25 mai 2010. "Cette rencontre se disputera en province", a précisé le président de la FFF.

Les Tricolores devraient ensuite prendre la direction de la Tunisie et plus précisément de Sousse. Leur stage sera ponctué le dimanche 30 mai par une nouvelle rencontre préparatoire face au pays hôte à Radès. "Les conditions d'accueil et les possibilités d'entraînement y sont intéressantes", a commenté Noël Le Graët.

Raymond Domenech et les 23 joueurs retenus s'envoleront dans la foulée pour l'Ile de la Réunion où ils concluront leur montée en puissance face à la Chine, le vendredi 4 ou samedi 5 juin. "Ce rassemblement à la Réunion va dépendre de l'état du terrain. La pelouse doit être en mesure d'accueillir les entraînements des Bleus et le match contre la Chine. C'est une condition préalable au déroulement de ce stage sur l'Ile", a expliqué Jean-Pierre Escalettes.

Les Français rejoindront ensuite l'Afrique du Sud où ils débuteront la compétition face à l'Uruguay, le vendredi 11 juin (20h30) au Cap.

La liste des 23 dévoilée le 2 mai

Raymond Domenech, communiquera dimanche 2 mai la liste des 23 joueurs retenus pour disputer la Coupe du Monde 2010 de la FIFA en Afrique du Sud. Le président de la FFF Jean-Pierre Escalettes l'a indiqué aujourd'hui à l'issue du Conseil Fédéral. L'épreuve est programmée du vendredi 11 juin au dimanche 11 juillet.

Calendrier
Les rendez-vous à venir
Retrouvez tous les prochains rendez-vous des Bleus.

Mercredi 3 mars 2010
Match amical à Saint-Denis (21h00)
France - Espagne

Mardi 25 mai 2010
Match amical à Lens
France - Costa Rica

Dimanche 30 mai 2010
Match amical à Radès
Tunisie - France

Vendredi 4 ou samedi 5 juin 2010
Match amical à La Réunion (sous réserve)
France - Chine

Vendredi 11 juin 2010
Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010 au Cap (20h30)
Uruguay - France

Jeudi 17 juin 2010
Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010 à Polokwane (20h30)
France - Mexique

Mardi 22 juin 2010
Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010 à Bloemfontein (16h00)
France - Afrique du Sud

France-Costa-Rica, le mercredi 26 mai

Le match de préparation à la Coupe du Monde de la FIFA, Afrique du Sud 2010, France-Costa Rica, prévu initialement le mardi 25 mai 2010, se jouera le mercredi 26 mai à partir de 21h00 au Stade Félix-Bollaert de Lens (photo).

Abidal blessé sérieusement

Eric Abidal s'est blessé aux adducteurs, mardi, lors d'un entraînement. Un nouveau coup dur pour l'ancien Lyonnais qui sera indisponible durant une période, estimée par le club catalan, de six à huit semaines. Le défenseur sera notamment absent pour le dernier match amical des Bleus contre l'Espagne, le 3 mars prochain.

Eric Abidal sera absent pendant six à huit semaines (Reuters).

Raymond Domenech n'aura pas le droit à son ultime répétition générale au Stade de France ! Au lendemain de l'annonce par le Toulouse Football Club de l'indisponibilité pour trois semaines d'André-Pierre Gignac pour cause de rechute aux adducteurs, ce qui signifie son probable forfait pour le prochain France-Espagne, c'est au tour d'Eric Abidal de flancher à son tour, lui aussi à cause d'une blessure aux adducteurs. C'est le FC Barcelone qui a annoncé la mauvaise nouvelle mardi, le défenseur tricolore ayant été contraint d'interrompre la séance d'entraînement du jour après avoir ressenti une douleur.

Il a aussitôt quitté la ville de Reus, dans la banlieue de Barcelone, où avait été délocalisé l'entraînement du jour, devant 3500 fans ayant bravé la pluie, pour filer passer des examens médicaux qui, d'après le site Internet du Barça, ont révélé une "désinsertion de l'adducteur de la jambe gauche", nécessitant une période d'arrêt "de six à huit semaines". Forcément une mauvaise nouvelle pour Raymond Domenech qui, dans la perspective de la Coupe du monde, avait sans doute envie d'aligner face à une forte opposition espagnole un onze le plus proche possible de son équipe-type (Abidal est redevenu ces derniers temps, aux yeux du sélectionneur, le meilleur complément en défense centrale de Gallas).

Une hécatombe avant l'Atlético

Une mauvaise nouvelle également pour son entraîneur en club, Pep Guardiola, confronté à une hécatombe, puisque le Brésilien Daniel Alves et l'Ivoirien Yaya Touré sont actuellement sur le flanc, le premier jusqu'à la fin du mois, le second pour une dizaine de jours. Avec Abidal, ce seront trois joueurs en moins au moment d'aller à Stuttgart le 23 février en 8e de finale aller de la Ligue des champions, et même cinq dimanche prochain, puisque Pique et Marquez, expulsés samedi dernier face à Getafe (2-1), seront suspendus pour le choc de la 22e journée à Vicente-Calderon face à l'Atletico !

Autant dire que l'entraîneur catalan va devoir puiser dans les réserves de son groupe, d'autant que le capitaine Puyol reste incertain, lui qui s'est entraîné à part ce mardi en raison d'une légère contracture musculaire. Mais de la réserve, le riche Barça en possède, avec notamment Milito, Maxwell, l'Ukrainien Chigrinsky, voire Keita et Busquets, capables de dépanner en défense... En attendant, Abidal, déjà revenu blessé de son séjour en équipe de France en novembre (pour finalement une absence plus courte que prévu), en est quitte pour ronger son frein, et si cette période de repos forcé était finalement un mal pour un bien en vue de la Coupe du monde ?

Les Bleus en revue

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Titi Henry est en maque de temps de jeu du côté de Barcelone


LE BLEU DU WEEK-END: Thierry Henry
(Coup de génie, coup de pompe, focus sur un Bleu en vue ou non, ce week-end)
Thierry Henry traverse une passe difficile à Barcelone. Pour le troisième week-end consécutif, le capitaine des Bleus est resté scotché au banc des remplaçants des champions d'Europe. Si officiellement il n'y a pas de problème Henry au Barça, l'attaquant français semble de moins en moins entrer dans les plans de Josep Guardiola. L'entraîneur des Catalans a pourtant répété ces derniers jours qu'il espère rapidement retrouver le grand « Titi » et qu'il en est convaincu. Reste que l'ancien Gunner n'est même plus la première solution offensive venant du banc.

Les jeunes Pedro et Bojan lui sont actuellement préférés, comme ce fut le cas dimanche soir lors de la défaite catalane sur la pelouse de l'Atletico Madrid (1-2). La situation n'est pas encore trop préoccupante mais pourrait le devenir si jamais elle venait à perdurer. A quatre mois de la Coupe du monde, Henry ne peut pas se permettre de perdre le rythme de la compétition. Et si Guardiola continue à l'écarter de sa rotation, sachant que Messi et Ibrahimovic sont incontournables, il ne fera pas le jeu de Raymond Domenech, lequel a toujours clamé qu'il privilégiait ceux qui jouent. Le sélectionneur de l'équipe de France, comme on le sait, n'imagine pas une seule seconde son attaque sans celui qu'il a promu capitaine.

DU BUT EN BLEU:
(Tous les buteurs bleus du week-end)
Non, il n'y avait de trêve nulle part en Europe ce week-end, et pourtant un seul joueur de l'équipe de France a connu la joie de marquer un but. Il s'agit d'un attaquant, Loïc Rémy, qui n'a aucune garantie de voir l'Afrique du sud au mois de juin. Le Niçois, buteur de la tête à Valenciennes samedi soir lors d'une nouvelle défaite du Gym (1-2), n'avait plus marqué depuis le 22 novembre en Ligue 1. Ce qui n'avait pas empêché de nombreux clubs (Lyon, Rennes, Arsenal) à se manifester à son sujet lors du mercato d'hiver. S'il n'a pas marqué, Franck Ribéry mérite une mention spéciale, après le succès du Bayern Munich sur Dortmund (3-1). Le milieu de terrain bavarois a été le détonateur de son équipe avec deux passes décisives à la clé. Après deux titularisations successives, l'ancien Marseillais semble avoir déjà retrouvé la grande forme.

LA PAROLE BLEUE: Franck Ribéry
(La petite phrase de la semaine)
Invité lundi dernier du Club Liza sur RTL, Franck Ribéry, dont le retour en équipe de France est attendu le 3 mars prochain lors de la rencontre amicale face à l'Espagne au Stade de France, a évoqué son placement sur le terrain chez les Bleus et exprimé clairement sa préférence pour le côté gauche. "Je suis beaucoup plus fort à gauche, estime le meilleur de terrain du Bayern. Je vais en parler avec le coach. Je suis plus dangereux, plus performant. C'est mental. Quand je commence à gauche, je suis bien dans mon corps. A droite, je suis tendu, crispé, je tente moins de choses. Mais le coach décidera." Reste à savoir si Raymond Domenech cèdera à la requête de son joueur.

SI J'ETAIS RAYMOND, JE SELECTIONNERAIS... Karim Aït-Fana
Ce n'est pas un secret, l'équipe de France manque de joueurs de un contre un, capables de faire la différence sur un coup de rein. Hatem Ben Arfa appartient à cette caste-là mais le Marseillais n'a plus été appelé par Raymond Domenech depuis le 14 octobre 2008, lors du match amical contre la Tunisie. Alors, si le sélectionneur des Bleus pour encore cinq mois maximum a envie de se doter d'un agitateur de particules, pourquoi ne pas tenter un coup de poker en offrant sa première sélection au jeune Karim Aït-Fana. L'attaquant montpelliérain, qui n'a pas encore 21 ans, brille de mille feux avec le surprenant promu depuis le début de la saison. Auteur de quatre buts en Ligue 1, dont un qui a marqué les esprits contre Marseille fin janvier, l'ailier virevoltant pourrait servir d'arme secrète en sortant du banc pour débloquer certaines situations délicates. Lors de sa première apparition avec les Espoirs, à Malte en octobre dernier, Aït-Fana n'avait pas mis longtemps à s'illustrer. A peine une minute après son entrée en jeu, il avait marqué sur son premier ballon. Ancien mentor des Espoirs, Raymond Domenech n'a pas pu passer à côté.