OLYMPIQUE DE MARSEILLE

Didier DESCHAMPS, entraineur de l'OM, souhaite que le match, soit rejouer dés mercredi. Car il ne veut pas rejouer le match le 2 décembre, sa fera jouer à l'OM 10 matches en 31 jours, se que ne souhaite pas l'entraineur.

OM-PSG le 20 novembre
Convoqué exceptionnellement ce jeudi à 11 heures, le Bureau de la Ligue de football professionnel (LFP) a décidé d'organiser la rencontre entre l'Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain, reportée à cause de la grippe A, le vendredi 20 novembre 2009.


Le classico OM-PSG aura finalement lieu le 20 novembre 2009. (Reuters) Le vendredi 20 novembre 2009. Telle sera la date tant attendue du Clasico entre l'Olympique de Marseille et le Paris Saint-Germain, match choc comptant pour la dixième journée du championnat de France de Ligue 1. Ainsi en a décidé le Bureau de la Ligue de football professionnel (LFP), convoqué exceptionnellement ce jeudi matin à 11 heures, auquel étaient invités Jean-Claude Dassier, le président marseillais, et Robin Leproux, son homologue parisien.

"Cette échéance convient aux deux clubs ainsi qu'au diffuseur Canal + qui retransmettra le match en direct, indique la LFP dans un communiqué. Cette date est la première possible. Elle permet de solutionner au plus tôt le problème du report de cette grande affiche de Ligue 1." Initialement programmée dimanche dernier, cette rencontre avait été reportée à quelques heures du coup d'envoi à cause de trois cas de grippe A dans l'effectif francilien.

Un bouleversement du calendrier

Cette décision a été arrêtée en concertation avec les patrons des deux clubs. Si ces derniers n'ont fait aucun commentaire à leur sortie de la réunion, José Anigo, le directeur sportif de l'OM, irrité par cette programmation, a seulement lâché au quotidien La Provence: "Puisque Frédéric Thiriez est très satisfait de la date choisie par le bureau de la LFP, je l'invite donc à assister à OM-PSG. J'espère que le président de la LFP sera présent pour la grande affiche du championnat."

Les duels entre Boulogne-sur-Mer et Paris ainsi que celui opposant la formation de Didier Deschamps au FC Sochaux-Montbéliard ont donc été décalés pour le moment au mercredi 2 décembre. "A priori, car dans le cas où le match de Ligue des champions face au Real Madrid à Marseille (la semaine suivante, le s'avérerait décisif, l'OM demanderait alors à la Ligue un report d'OM-Sochaux à une date ultérieure", écrit le club phocéen sur son site Internet.

Victoire écrasante de Marseille contre le FC Zurich: 6 buts à 1.
Match nul entre le Milan AC et le Réal Madrid 1 à 1.
Milan et le Réal sont 1er et 2ème avec 7pts, Marseille 3ème avec 6 pts et Zurich est dernier.

Marseille renoue avec le spectacle
En écrasant sans vraiment convaincre Zurich mardi soir à l'occasion de la 4e journée de Ligue des Champions (6-1), l'Olympique de Marseille a pratiquement assuré sa troisième place dans ce groupe C, synonyme de Ligue Europa. Cette large victoire permet même aux Phocéens de carresser le doux espoir d'une qualification pour les huitièmes de finales de la C1.


Abriel et Niang, les deux grands artisans de cette victoire marseillaise. (Reuters) "Il faut rester réaliste, il va y avoir une très grosse pression. Cela peut le devenir si on tient le coup sur le début de la rencontre. On connaît l'impatience des supporters et ça peut devenir intéressant." Le coach de Zurich, Bernard Challandes, interrogé la veille en conférence de presse sur les clés de cette rencontre, ne s'attendait alors pas à un tel scénario catastrophe. Jugez plutôt ! Dès la 4e minute de jeu, son milieu de terrain Aegerter dévie dans ses propres cages un coup franc rentrant d'Abriel (1-0, 4e). Deux minutes plus tard, le meilleur joueur suisse Vonlanthen se claque tout seul et est contraint de laisser sa place. Clou du spectacle, ce nouveau coup de pied arrêté d'Abriel qu'aucun Olympien, tous en position de hors-jeu, ne parvient à toucher mais qui trompe le portier Leoni. (2-0, 11e). De quoi rendre complètement furax les Zurichois et leur entraîneur, énervés à la fois par cette décision suspecte de M. Thomson mais surtout par ce début de rencontre cauchemardesque. Les Phocéens, volontaires mais pas vraiment dangereux, n'en demandaient pas tant. Eux qui n'avaient plus gagnés au Vélodrome depuis le 19 septembre dernier.

D'autant que les Suisses, chloroformés par cette succession de coups durs, offrent de nouvelles possibilités aux hommes de Didier Deschamps pour corser l'addition. Mais ni Cheyrou (18e), ni Brandao (25e) ne parviennent à tromper la vigilance du gardien zurichois. L'OM, qui ne s'attendait pas à prendre aussi facilement le dessus sur un adversaire accrocheur au match aller, va alors se relâcher. Une décontraction coupable que les Marseillais vont payer comptant sur une frappe à l'entrée de la surface d'Alphonse, le petit français de Zurich, qui se joue d'une défense bien passive sur le coup (2-1, 30e).

Une efficacité redoutable

Et si Diawara a l'occasion de donner un peu d'air à son équipe sur un nouveau coup-franc (32e), ce sont les derniers champions helvétiques qui vont se montrer les plus menaçants par l'intermédiaire d'Okonkwo (39e) puis de Djuric (45e). Si l'on ignore les mots que Deschamps a employé dans les vestiaires pour remotiver ses troupes, son impact est en tout cas immédiat et permet aux Phocéens de repartir sur les mêmes bases que lors du début de match. Niang, après une ouverture subtile de Koné par dessus la défense, libère, d'un petit lob, ses coéquipiers d'une tension qui s'accentuait au fil de la confrontation (1-0, 53e). Pas vraiment soutenu par un Vélodrome encore boudeur, le vice-champion de France a néanmoins le mérite de retenir les leçons de la première période, se montrant beaucoup plus appliqués dans la circulation du ballon. Cependant, son arrière-garde se montre toujours aussi fragile, et il faut un retour monstrueux de Bocaly pour empêcher Djuric de réduire à nouveau le score (64e).

Un avertissement sans frais qui ne suffit pas aux Marseillais, une nouvelle fois mis en danger par Tihinen dont la reprise de la poitrine oblige Mandanda à un arrêt réflexe (78e). Heureusement, les Olympiens vont trouver une nouvelle fois la clé sur coup de pied arrêté, une efficacité dans un secteur de jeu que l'on ne leur connaissait pas. C'est le retrouvé Hilton qui atomise d'une demi-volée parfaite le portier zurichois (4-1, 80e). Cheyrou d'une mine lumineuse dès 25 mètres (5-1, 87e) puis Brandao du plat du pied (6-1, 89e) clôtureront ensuite la marque. Trois buts salvateurs qui donnent un peu d'ampleur au score mais ne masquent pas pour autant les faiblesses défensives marseillaises. Pas vraiment rassuré sur son niveau de jeu mais quasiment qualifié pour la Ligue Europa, l'OM profite même du nul entre Milan et Madrid pour revenir à un petit point des deux géants. Et donc de continuer à rêver à une possible qualification pour les huitièmes de finales de la Ligue des Champions.

Un OL-OM de feu !

Dans une rencontre exceptionnelle au scénario rocambolesque (5-5), l'Olympique Lyonnais et l'Olympique de Marseille ont partagé le point du match nul dimanche à l'occasion du match de clôture de la 13e journée de Ligue 1. Une confrontation qui a vu les deux formations passer par tous les états mais qui au final n'arrange pas vraiment leurs affaires au classement.


Tout juste auréolé de sa qualification pour les huitièmes de finale de Ligue des Champions, l'Olympique Lyonnais a conclu son exceptionnelle semaine par un match nul de toute beauté face à Marseille (5-5). Un match nul équitable entre deux formations qui auraient pu l'emporter mais également s'incliner à de multiples reprises dans un choc qui restera gravé dans les mémoires. "Il est important de jouer un match comme ça après Liverpool. C'est plus facile d'aborder un match contre l'OM que contre une autre équipe car il faut faire appel à une concentration qui n'est pas naturelle au départ." Interrogé samedi en conférence de presse sur l'état d'esprit lyonnais, quelques jours après la qualification en Ligue des Champions, Claude Puel pensait que ce choc serait plus fructueux que destructeur pour sa formation. Il pensait bien. Même si c'était peut-être sous-estimer l'appétit phocéen et surtout méconnaître cette statistique qui escorte les Lyonnais. Depuis la saison dernière, l'OL n'avait en effet remporté que trois de ses onze matchs de championnat disputés après une journée de Ligue des Champions.

Peut-être porté par le nouvel et éphémère logo à l'effigie du rappeur Kool Shen, Lyon n'a pas attendu très longtemps avant de "foutre le feu". Quatre minutes seulement. Le temps pour Pjanic, finalement présent sur la pelouse de Gerland, de placer une belle demi-volée sous la barre de Mandanda (1-0, 4e). Un geste magnifique et difficile à exécuter qui ne doit pas masquer la relance complètement ratée de Hilton sur un ballon de Källström. Du coup, vexé par cette ouverture du score si tôt dans la partie, Marseille se rebiffe et prend d'assaut la surface rhodanienne. La première tentative de Niang est parfaitement stoppée par Lloris (5e) mais la seconde de Diawara fait mouche. Le défenseur central marseillais reprend d'une tête puissante un corner rentrant d'Abriel que le portier de l'OL, gêné par M'Bia, ne peut pas repousser (1-1, 11e). Décidemment, les coups de pied arrêtés, la nouvelle arme des Phocéens depuis quelques rencontres.

Le geste de Koné

Mais il en faut plus pour décourager les Lyonnais, piqués à vif par cette égalisation. Govou, toujours sans brassard mais avec sa pointe de vitesse, entame un sprint de 50 mètres qu'il conclue d'une frappe du gauche aussi pure que puissante (2-1, 14e). La défense marseillaise un peu hésitante et appâtée par l'appel de Lisandro Lopez ne peut que constater les dégâts. L'OL reprend l'avantage dans un début de rencontre fou, fou, fou. Du coup, les deux formations prennent le temps de poser leur football en même temps que de reprendre leur souffle. Les occasions se raréfient, les duels se font plus musclés, l'entame tambour battant laisse peu à peu place à une vraie partie d'échecs que Marseille négocie mieux. Son métronome Cheyrou, une nouvelle fois très en jambes ce soir, arme une frappe lointaine sur laquelle Lloris, gêné par la trajectoire du ballon, se déchire complètement (2-2, 44e). Une bourde qui permet aux Provençaux de revenir juste avant la pause.

Les hommes de Didier Deschamps ont bien retenu la leçon des premières minutes de la confrontation et rentrent sur le pré avec de toutes autres intentions. Une débauche d'énergie récompensée par cette réalisation magnifique de Koné, à la réception d'un centre d'Abriel (2-3, 49e). La demi-volée de l'extérieur du pied du numéro 14 provençal se loge dans la lucarne droite d'un Lloris impuissant. Une joie malheureusement de courte durée pour le lutin ivoirien, blessé et contraint de céder sa place à Valbuena dans la foulée de son chef d'oeuvre (57e). Entre temps, Brandao et Niang auraient pu corser l'addition. Mais la frappe molle du buteur brésilien trouve la main salvatrice de Lloris (52e) tandis que la tête du Sénégalais passe quelques centimètres au-dessus (54e). Claude Puel est obligé de revoir ses plans et fait rentrer Gomis à la place d'Ederson.


Quelle fin de match !

Un changement de suite payant puisque sa formation se montre bien plus menaçante, malgré un état de fatigue apparent. Lisandro Lopez d'un bel enroulé du pied droit met à contribution une première fois Mandanda (56e) avant d'être accroché par M'Bia dans la surface phocéenne vainement (70e). C'est le moment que choisit Brandao, maladroit jusque là, pour assommer l'OL. L'Auriverde profite d'un nouveau corner d'Abriel, trois passes décisives dans ce match, pour devancer au premier poteau Bastos et mettre son extérieur du pied en opposition (2-4, 77e). Mais comme contre Liverpool mercredi, les Gones ne se résignent pas et réduisent même le score par son buteur argentin Lisandro Lopez, auteur d'une pichenette sur Mandanda aussi subtile qu'efficace (3-4, 81e). Débute alors une véritable furia lyonnaise sur les buts du portier des Bleus. "Le taureau de la pampa" transforme d'abord un penalty en force après une faute de main d'Heinze dans la surface (4-4, 83e) avant d'être à l'origine d'un des plus beaux buts de l'année. Pjanic et Gomis dédoublent à l'entrée du camp marseillais, Lisandro redonne parfaitement en pivot vers Gomis qui trouve le Bosniaque dans la course. Au lieu de tirer, le meneur de jeu voit Bastos seul à droite, qui ajuste parfaitement Mandanda d'un plat du pied gauche au ras du poteau gauche (5-4, 89e) !

Somptueux et surtout important puisqu'il permet à cinq minutes du terme de la rencontre de voir l'OL prendre l'avantage. Définitivement non, puisque dans les arrêts de jeu, les Marseillais se jettent corps et âme dans la surface adverse. Et au bout d'un capharnaüm étonnant, c'est ce pauvre Toulalan à la lutte avec M'Bia qui pousse le ballon dans ses propres filets (5-5, 93e). Rageant mais tellement mérité à l'issue d'une rencontre rocambolesque, qui finalement arrange bien les affaires bordelaises. Même si le leader girondin, suite à sa défaite à Lille, perd un point sur ses deux principaux adversaires pour le titre, il conserve son fauteuil sur lequel les Lyonnais auraient adoré recouvrer ce dimanche soir. En attendant, son public peut savourer cette belle semaine...

de la folie ce match !

La sa vaut le coup de payer un ticket d'entrée à 50 euros!!!!!!!!!!!!!!!

Fabrice Abriel (Olympique de Marseille) a réussi la performance rare de délivrer trois passes décisives au cours de la même rencontre lors du fameux 5-5 contre l'OL.

A sacré OM, capable du meilleur comme du pire, comme malheureusement beaucoup d'équipe du championnat de France de Ligue 1 et même de Ligue 2!!!!!!!!!!!!!!!
Enfin, je vois toujours l'OM champion de France cette saison.

D' où vient ABRIEL ?

de lorient

Combien y a t il de passeurs decisives sur le podieum a Lorient ?

Pourquoi cette question?

Pour dire que Lorient est un grand club et a un super centre de formation

Un parmis tant d'autres!!!!!!!!!!!!!!

Oui mais en France un des meilleurs !

L'OM sait ce qu'il lui reste à faire.

L'Olympique de Marseille possède encore toutes les cartes en mains afin de se qualifier pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions. Les Phocéens se rendent, mercredi, en Italie pour y défier l'AC Milan lors de la 5e journée du groupe C. Si la défaite est interdite pour les représentants tricolores, un succès serait la meilleure façon d'atteindre cet objectif.

une petite vidéo http://forumfootball.forumactif.com/images-et-videos-f72/comment-dire-a-son-pere-que-tu-es-pour-paris-t12361.htm

Euh un peu limite!!!!!!!!!!!!! Pauvre gamins, il a bien raison (se n'est que du foot).

L'OM y croit encore

L'Olympique de Marseille méritait certainement mieux que le nul rapporté de Milan (1-1), mercredi soir, en Ligue des champions. Mais les Marseillais ont encore une chance de se qualifier pour les huitièmes de finale. Pour cela, l'OM devra battre le Real Madrid au Vélodrome et espérer un faux pas du Milan à Zurich.

Des regrets, les Marseillais en ont énormément à l'issue du match à Milan (1-1). Les Olympiens pourront ressasser la frappe sur la barre d'un Brandao seul aux six mètres ou le poteau trouvé par Diawara sur un corner, rien n'y fera, ils ne récupèreront pas les points perdus à San Siro, ni ceux du match aller perdu au Vélodrome en septembre (1-2). Mais fort heureusement, Didier Deschamps et ses joueurs l'ont bien compris. "Il ne faut pas s'arrêter, même si on est un petit peu déçus de ne pas avoir remporté ce match, explique Laurent Bonnart, sur le site officiel du club. Le football n'est fait que d'avenir."

Une remise en perspective d'autant plus nécessaire que l'OM possède encore son destin entre ses mains. Car si, le 8 décembre prochain, lors de la sixième et dernière journée de Ligue des champions, les Marseillais l'emportent 3-0 (certes cela apparait très improbable) ou plus face au Real Madrid, le vice-champion de France serait qualifié. Défaits 3-0 à l'aller à Bernabeu, les Phocéens reprendrait l'avantage sur le Real à la différence de buts générale (+5 contre +3, en cas de victoire 3-0 de l'OM). Où quand les six buts inscrits face à Zurich prendraient alors un tout autre sens... "Il y a encore une petite chance et on va la jouer à fond", assure Deschamps, qui sait qu'il pourrait également compter sur une défaillance de Milan à Zurich. Si les Italiens ne s'imposent pas en Suisse, une victoire de face au Real, quel que soit le score, propulserait l'OM en huitièmes de finale. Un scenario pas si improbable, auxquel les Olympiens veulent bien se raccrocher.

Déjà la tête au Real

"Oui, le rêve est encore possible", confirme Didier Deschamps, "même si ça ne dépendra que de nous qu'à condition de battre le Real Madrid 4-0 (un 3-0 "suffirait", en réalité). Alors forcément, ce n'est pas une chose simple. Mais pour ne pas avoir des regrets plus importants, pensons à gagner notre dernier match. Après, on verra. La logique voudrait que Milan gagne à Zurich. Ce sera un match de gala pour nous et même si la chance est petite, on la jouera à fond." Tout comme son entraineur, Souleymane Diawara espère toujours la qualification, même s'il sait que celle-ci risque de passer par une contre-performance de l'AC Milan : "On croit toujours en la qualification, on sait que rien n'est fini. On ne va rien lâcher. On va tout faire pour prendre les trois points. Ensuite on verra bien ce que fera Milan à Zurich."

Battre le Real Madrid, qui cherchera à assurer sa qualification et sa première place, le défi est immense. Mais les Marseillais pourront s'appuyer sur le contenu du match de mercredi. "L'équipe est en place, elle a pris confiance en elle", explique Deschamps. "En début de saison on était une équipe en construction, maintenant on trouve nos automatismes et l'équipe commence à monter en puissance", confirme Diawara, toujours sur le site de l'OM. Laurent Bonnart souhaiterait, lui, ajouter plus de buts à cette bonne performance: "Il faudra garder le même contenu que ce soir (mercredi) et être encore plus efficace".

Et ce petit plus, l'OM pourrait le trouver dans le soutien du Vélodrome. Comme beaucoup d'autres, Edouard Cissé connait l'importance du public dans ce genre de match. "Le scénario n'est pas évident et le dernier match ne sera pas une petite finale, mais une grosse finale. On a la chance de jouer ce dernier match au Vélodrome. On aura besoin de notre douzième homme, et on sait qu'il sera avec nous." Jamais le dernier pour motiver ses joueurs, José Anigo, le directeur sportif marseillais, promet le feu aux stars madrilènes: "Attention, contre Madrid, ce sera un match de fou et on va entrer dedans comme ça. On n'a rien à perdre contre une équipe dont on sait au départ qu'elle est plus forte. On ira sans crainte car on n'a qu'une petite chance mais on la jouera à fond". Tant que rien n'est perdu...

prochaine journée

super les photos